Dans le florilège de conseils donnés sur l’écriture, on entend souvent dire qu’un·e bon·ne méchant·e doit avoir une motivation. Autrement dit, des raisons d’être méchant·e. Et qu’un·e bon·ne méchant·e ne peut pas être méchant·e pour être méchant·e, sans raison particulière. Sans une histoire qui justifie l’origine du mal. Je ne suis pas tout à faitLire la suite « De bons méchants ? »
